jazzandpeople_FranckAmsallem-GothamGoodbye_CD3V copie
LABEL

“Gotham Goddbye”

Franck Amsallem

Le jazz tel que le conçoit le pianiste Franck Amsallem peut se jouer aussi bien ici et maintenant : Gotham Goodbye, bonjour Paris !

Share on facebook
Share on twitter
Share on email

Présentation

Fort de vingt années de bons et loyaux services à New York où il a joué et enregistré avec les plus grands, Franck Amsallem signe un disque en forme d’adieu à la mégapole américaine et affirme, à la tête d’un quartet international de haut vol où brille le saxophoniste cubain Irving Acao, que le jazz tel qu’il le conçoit peut se jouer aussi bien ici et maintenant : Gotham Goodbye, bonjour Paris !

Personnel

  • Irving Acao, saxophone ténor
  • Franck Amsallem, piano
  • Viktor Nyberg, contrebasse
  • Gautier Garrigue, batterie

Prise de son : Alban Sautour
Photo de couverture : Philippe Lévy-Stab

Tracklisting

  1. From Two to Five 5’45
  2. A Night in Ashland 8’16
  3. Gotham Goodbye 6’41
  4. Last Night When We Were Young 5’42
  5. Baton Rouge 4’22
  6. Standard Form 7’01
  7. In Memoriam 7’05
  8. From Twelve to Four 5’46
  9. Hamsa 7’14

Regardez
la bande-annonce

La presse en parle

Le Monde

« Dans ses doigts, une bonne partie de l’histoire du piano jazz, un délié expressif, l’exactitude du choix des notes. Dans son écriture, une lisibilité, une évidence mélodique »

Jazz Magazine

« Un coup de maître ! »
Logo récompense CHOC

Paris Move "Coup de Coeur"

« Cet album est plein de belles surprises, de rythmes qui décoiffent. »

La terrasse

« Un magnifique opus »

Jazz in Europe

« The production quality is top notch and a delight to hear from start to finish. Highly recommended. »

Jazz Profiles

« Fun tunes, great improvisation and an in-the-room audio quality makes Franck’s latest recording a joyful listening experience »
à propos de 

Vous aimerez aussi

Avec un tel prénom, ce pianiste pouvait-il échapper à un destin de jazzman ? Phrasé alerte, virtuosité joyeuse et décontraction du geste, Dexter Goldberg a le jazz sous les doigts.
Neuf pianistes, neuf enregistrements, tous réalisés sur un Steinway D, modèle grand concert, patiemment restauré par un accordeur de renom et laissé en dépôt dans le salon parisien de l’un d’entre eux.